Anick Lamothe s’associe au Club pour une campagne en collaboration avec Circle K & Couche-Tard

22.09.2021
4 minutes de lecture

Aujourd’hui, le Club des petits déjeuners est parti à la rencontre de Anick Lamothe, blogueuse, autrice, traductrice et maman. Anick est également bénévole dans un programme de petits déjeuners du Club depuis 2013. Cette passionnée de cuisine se cache derrière le blogue Une mère poule un peu dingue et vient de concevoir une collection de 10 recettes saines et nutritives pour le Club. Ces délicieuses recettes sont disponibles dans le cadre des campagnes de financement de Circle K et Couche Tard pour le Club des petits déjeuners.

 

Découvrez la créatrice de saveurs Anick Lamothe :

 

Tu sembles avoir eu plusieurs vies, peux-tu nous raconter ton parcours ?

Enfant, je rêvais de devenir enseignante ou avocate, j’ai pratiqué 3 ans de notariat et j’ai détesté ça ! J’ai toujours aimé l’alimentation saine et comme je faisais des purées maison à ma fille, je les ai proposés à des copines qui venaient d’accoucher. L’idée s’est développée pour devenir les aliments La Mère Poule que j’ai cofondée avec ma mère. Cela a été une réussite, mais ma mère est tombée malade et nous avons vendu l’entreprise. Je me suis réinventé dans le développement pharmaceutique et c’est à ce moment-là que j’ai décidé de redonner à la société. Le Club s’est imposé à mon esprit, vu mon amour pour les enfants.

 

Comment est née ta passion pour la cuisine ?

Petite, ma mère m’installait à ses côtés quand elle cuisinait. J’avais mon mini rouleau à pâte et je confectionnais des tartes ! J’ai toujours trouvé les odeurs de la cuisine réconfortantes. Plus tard, pour me détendre, je lisais des livres de recettes comme d’autres lisent des romans. La passion de la cuisine permet aux familles d’être ensemble et partager de bons moments. C’est tout ça pour moi la cuisine.

Anick Lamotte Cookbook

Quelle est ta recette préférée ?

Je préfère le salé au sucré. Pendant longtemps, ce que j’aimais le plus, c’était le gâteau moka de ma grand-maman et ses « biscuits frigidaires ». Aujourd’hui, je suis trop curieuse pour me limiter à une recette préférée !

 

Pourquoi avoir choisi de t’engager avec le Club ?

Parce qu’il est impossible d’apprendre quand on a faim, et que l’éducation est la clé de la réussite. Ces petits cerveaux ont soif d’apprendre, mais il faut les aider pour les propulser. Je considère qu’abaisser le niveau d’insécurité alimentaire au pays est presqu’un devoir citoyen, c’est un bien pour le futur de notre société.

De plus, j’ai aussi toujours été une personne occupée et le seul temps que j’avais à accorder au bénévolat était tôt le matin. Le Club m’offrait donc la solution parfaite : donner un coup de main à un organisme sérieux en aidant les enfants à mieux manger !

 

Comment cela se traduit-il dans la réalité, qu’y fais-tu ?

Avant la pandémie, il y avait la mise en place des tables, des plats et la préparation des aliments (c’est agréable, on papote ensemble !). Des bénévoles sont affectés au service ou à la vaisselle. C’est le temps de « connecter » avec nos cocos, nous les servons avec un sourire et quelques phrases. Des enfants se portent toujours volontaires pour donner un coup de main, c’est un beau moment. Je m’ennuie de mon papotage avec Fadia, et de son grand sourire ou avec Sophie, haute comme trois pommes. On sert des enfants, mais il y a une dose de chaleur humaine qui passe dans les deux directions. Quand je pars, je suis sur un petit nuage doux, même si ce n’est pas toujours facile de se lever à 5h30 et d’embarquer dans une auto froide ! Mais le club donne plus qu’il ne demande aux bénévoles.

 

Qu’as-tu remarqué auprès des enfants qui partagent ces petits-déjeuners ?

Je suis dans un quartier multiethnique, il y a beaucoup de nouveaux arrivants et tout le monde aime le sirop d’érable ! Ce qui est remarquable, c’est la gentillesse et la politesse de nos enfants. Certains arrivent au début et sont nerveux puis au fil des semaines, ils se détendent. Ce que je remarque aussi c’est « l’inclusion » dont ils font preuve, il est rare qu’un enfant mange seul. Et toutes les cultures se mélangent !

 

Peux-tu nous parler des recettes que tu as créées pour le Club ?

Je voulais créer des recettes saines, nutritives, faciles à faire, mais avec un côté nouveau pour faire explorer les papilles, tout en gardant en tête qu’elles devaient plaire au plus grand nombre. Ainsi, le gruau du matin est fait avec de l’épeautre, une céréale très nutritive et délicieuse, on trouve de la farine de sarrasin et un œuf sur mes muffins réveil-matin et je me suis inspirée d’un « street food » coréen pour les créer !



Ne ratez pas les dates de campagne de financement pour le Club des petits déjeuners ci-dessous. Faites un don à la caisse d’un magasin Couche-Tard ou Circle K, dans les succursales des maritimes, et obtenez un lien sur votre facture qui vous donnera accès à ces recettes exclusives !

 

Couche-tard : 14 au 20 septembre

Circle K – Maritimes : 14 septembre au 11 octobre