(Photo : Ella Olsson de Pexels)

En cette période d’incertitude partout au Canada, voici quelques trucs pour manger sainement à petit prix.

Pour passer le temps de façon amusante, faites participer vos enfants à la planification et à la préparation des repas. Cuisiner est une occasion d’apprentissage extraordinaire!

  1. Planifiez vos repas en conséquence et n’achetez que le strict nécessaire. Composez votre menu, dressez votre liste d’épicerie et tenez-vous-y pour éviter les achats impulsifs au supermarché. Consultez le Livre de recettes numérique du Mois de la nutrition 2020 pour des suggestions faciles à réaliser.
  2. Visez l’équilibre. Suivez le Guide alimentaire canadien! Garnissez chacune de vos assiettes d’aliments issus des trois catégories du Guide pour savourer des repas sains et équilibrés. Assurez-vous d’inclure des légumes et des fruits, des aliments à grains entiers et une source de protéines.
  3. Achetez des fruits et légumes surgelés. La plupart du temps de même valeur nutritive, ils sont moins chers, facilement accessibles et souvent vendus en gros. Cuisinez-les, transformez-les en smoothies ou servez-les sur votre gruau ou yogourt en guise de délicieuse garniture.
  4. Variez les aliments protéinés. Les haricots secs ou en conserve, le thon et le saumon en boîte, le tofu et les noix et graines représentent des choix abordables et de belles sources de protéines.
  5. Faites preuve de créativité avec ce que vous avez à la maison. Analysez le contenu de votre réfrigérateur et de votre garde-manger pour savoir de quels ingrédients vous disposez. Utilisez des applis ou des sites web comme le Vide-Frigo de Glouton ou Frigo Magic pour générer des recettes à partir d’une liste limitée d’ingrédients. Les combinaisons amusantes que vous réaliserez vous surprendront!

Parce qu’il est parfois difficile de faire des choix nutritifs pour son club, nous sommes là pour vous aider! Ce mois-ci, nous vous révélons pourquoi un morceau de fruits ou légumes frais aura toujours le dessus sur les jus de fruits. Les fruits entiers disposent de nombreux avantages nutritionnels sur leur pendant liquide, couramment additionné de sucre.

En outre, le jus de fruits…

  • N’est pas un aliment complet : La structure du fruit transformé en jus a été modifiée et la mastication n’est plus nécessaire. C’est donc une portion importante du processus digestif liée à la sensation de satiété qui disparaît.
  • Augmente l’apport en sucre et la consommation générale d’aliments : Parce que le jus est très concentré, il contient une quantité étonnamment élevée de sucres, ajoutés ou non]. Sans les fibres des fruits entiers qui favorisent la satiété et aident à équilibrer la glycémie, une sérieuse baisse d’énergie survient peu de temps après avoir bu du jus. Or, faire le yo-yo avec sa glycémie peut affecter la capacité naturelle de l’organisme de savoir s’il a vraiment faim ou a assez mangé et donc conduire à la suralimentation.
  • Contient peu de fibres : La pelure et la pulpe des fruits entiers sont une source importante de notre apport quotidien en fibres mais dans le processus de transformation du jus, elles sont souvent retirées. Cela réduit donc significativement la valeur nutritive du jus, comparativement aux fruits entiers.

Alors, même si la tentation de servir du jus aux élèves de votre programme de petits déjeuners est parfois forte, nous vous encourageons à considérer les fruits ou légumes entiers comme l’option la plus profitable! S’il est difficile de se procurer des fruits frais dans votre collectivité, les fruits surgelés constituent un bon choix, particulièrement pour les smoothies matinaux! Les fruits en conserve dans l’eau sont également intéressants lorsque les fruits frais ne sont pas disponibles (attention toutefois aux sucres ajoutés).

Comme toujours, n’hésitez pas à nous contacter pour obtenir des réponses à vos questions sur la nutrition ou des idées pour varier vos menus.

(Photo : Alexander Mils sur Unsplash)

 

Des conseils de nos spécialistes sur le terrain à l’école Deninu dans les Territoires du Nord-Ouest.

 

Nous entendons régulièrement dire que les responsables de programmes souhaitent mettre au menu de nouveaux aliments, mais hésitent par crainte que les élèves soient réticents. Effectivement, les jeunes se montrent parfoismoins enthousiastes devant de nouveaux aliments. Cela dit, cet obstacle n’est pas insurmontable, comme l’a démontré cette année un club qui a relevé le défi. Son secret? Les aliments sains peuvent être délicieux!

Découvrez avec nous le programme de l’école Deninu à Fort Resolution, dans les Territoires du Nord-Ouest. Ici, un bénévole inspiré voulait montrer aux élèves que les repas faits maison, à partir d’aliments peu transformés et peu sucrés, peuvent avoir tout aussi bon (et même meilleur) goût que les produits très transformés. Frittatas, granola maison et autres produits de boulangerie faits de blé entier, quartiers de pommes de terre au four, crudités accompagnées de trempette maison et crêpes à base de purée de légumes surgelés ont notamment été mis au menu. L’école le reconnaît : au début, les élèves étaient plus réticents face aux aliments moins sucrés au petit déjeuner! Toutefois, en peu de temps, leurs papilles se sont habituées et, l’influence des « grands » et des pairs se faisant sentir, les enfants ont rapidement commencé à se délecter. D’ailleurs, les crudités et trempettes maison font maintenant partie des grands favoris au club de l’école Deninu!

 

À ce stade, vous espérez sûrement obtenir des conseils pour répéter l’expérience dans vos programmes. Continuez de lire! L’école Deninu nous propose quelques astuces pour ce faire :

  1. Coupez les nouveaux aliments en plus petits morceaux et offrez des portions réduites pour permettre aux élèves de goûter. Présentés dans un format idéal pour les petites mains, les aliments sont moins intimidants. Une belle façon de réduire le gaspillage!
  2. Faites preuve de créativité avec les noms! Pour introduire le pain doré (en anglais French toast, soit « pain français ») préparé avec du pain de blé entier, le club de l’école Deninu s’est amusé à renommer le plat « pain québécois », ce qui a intrigué les élèves.
  3. Réduisez les fruits et légumes en purée et ajoutez-les à vos nombreuses préparations : pain, pâtisseries, crêpes, smoothies, etc. Les produits frais sont difficiles d’accès? Utilisez des produits surgelés ou en conserve (idéalement, sans sucre ni sel ajouté)!
  4. Acceptez que les élèves aient besoin de temps pour se familiariser avec les nouveaux aliments. Certains auront besoin d’être exposés plusieurs fois à la nouveauté avant de l’apprécier. Soyez persévérants!
  5. Soyez flexible. « Il arrive que l’école offre du sirop d’érable, mais les bénévoles remarquent que les élèves en utilisent moins qu’avant. » Les aliments d’occasion ont aussi leur place dans une saine alimentation!

 

Merci à l’École Deninu pour ce partage! Nous espérons que cette histoire sera source d’inspiration et vous encouragera à mettre au menu des aliments nutritifs et variés.

 

Et comme toujours, n’hésitez pas à contacter votre coordonatrice ou coordonateur si vous souhaitez introduire de nouveaux aliments dans votre programme, mais que vous ne savez pas par où commencer!

(Photo : Alice Pasqual sur Unsplash)

20 portions
35 min. de préparation
20 min de cuisson

Vous aurez besoin de :

  • 1 plat rectangulaire à cuisson
  • 1 feuille de papier parchemin
  • 1 grand bol
  • 1 cuillère en bois
  • 1 petite casserole
  • 1 kit de tasses à mesurer
  • 1 Kit de cuillères à mesurer
  • 1 planche
  • 1 couteau de chef

 

Ingrédients :

  • 2 tasses (500 ml) de flocons d’avoine à cuisson rapide
  • 2 tasses (500 ml) de riz soufflé
  • ½ tasse (125 ml) de son de blé ou d’avoine
  • ½ tasse (125 ml) de canneberges séchées, hachées grossièrement
  • ½ tasse (125 ml) d’abricots séchés, coupés en petits dés
  • ¼ tasse (60 ml) de lait en poudre
  • 1/3 tasse (80 ml) de sirop d’érable
  • 1/3 tasse (80 ml) de cassonade légèrement tassée
  • 1/3 tasse (80 ml) d’huile de canola
  • 3 œufs

 

MÉTHODE

  1. Placer la grille au centre du four et préchauffer le four à 350 °F.
  2. Tapisser le moule rectangulaire à cuisson d’une feuille de papier parchemin.
  3. Dans un bol, mélanger les flocons d’avoine, le riz soufflé, le son de blé ou d’avoine, les fruits séchés et le lait en poudre. Réserver.
  4. Dans une petite casserole, porter à ébullition le sirop d’érable, la cassonade et l’huile. Poursuivre la cuisson 2 minutes. Verser sur les ingrédients secs et mélanger jusqu’à ce que la préparation soit bien humectée. Ajouter les œufs et mélanger jusqu’à ce que la préparation de céréales soit bien collante.
  5. Répartir dans le moule et presser fermement en une couche uniforme. Cuire au four environ 15 minutes ou jusqu’à ce que les céréales soit légèrement dorées. Placer le plat une quinzaine de minutes au congélateur. Démouler et couper en 20 barres.
  6. Les barres se conservent dans un contenant hermétique jusqu’à 2 semaines. On peut les congeler à cette étape si désiré. On peut également emballer les barres individuellement dans une pellicule de plastique.

 

ASTUCE DU CHEF : Bien prendre le temps de refroidir les barres avant de les couper. Il serait possible aussi dès le début de la recette de portionner des boules au lieu de presser le mélange dans un moule rectangulaire afin d’éviter la dernière étape de découpe plus délicate.

 

CONSEIL DE LA NUTRITIONNISTE : Pour une collation bien vitaminée, apportez un fruit frais pour manger avec votre barre!

Merci à La Tablée des chefs pour ces délicieuses recettes! www.tableedeschefs.org/fr

(Photo : Kaitlyn Chow sur Unsplash)

 

12 portions
30 min de préparation
25 min de cuisson

 

Vous aurez besoin de :

  • 1 plaque à muffin pour cuisson
  • 12 caissettes à muffin en papier
  • 1 Kit de tasses à mesurer
  • 1 kit de cuillères à mesurer
  • 1 gros bol
  • 1 bol moyen
  • 1 petit bol
  • 1 maryse
  • 1 fouet

 

Muffins :

  • 1/2 tasse (125 ml) de son de blé
  • 1 1/2 tasse (375 ml) de farine tout-usage
  •  2 c. à thé (10 ml) de poudre à pâte
  • 3/4 tasse (180 ml) de yogourt aux pêches
  •  1 c. à thé (5 ml) de bicarbonate de soude
  •  1 tasse de bleuets frais ou surgelés
  •  1 œuf
  • 1/2 tasse (125 ml) de cassonade
  • 1/3 tasse (80 ml) d’huile végétale
  • 1/4 tasse (60 ml) de compote de pommes non sucrée

 

Garniture croquante :

  • 1 c. à soupe (15 ml) de cassonade
  • 1 c. à soupe (15 ml) de beurre non-salé fondu
  • 1/3 tasse (80 ml) de gros flocons d’avoine (ou avoine rapide)

 

Méthode

  1. Préchauffer le four à 180 °C (350 °F). Déposer des papiers à muffins dans un moule de 12 muffins.
  2. Dans un gros bol, mélanger le son de blé, la farine, la poudre à pâte et le sel. Réserver.
  3. Dans un petit bol mélanger le yogourt et le bicarbonate de soude. Réserver.
  4. Dans un bol moyen mélanger, à l’aide d’un fouet, l’œuf, la cassonade, l’huile et la compote de pommes. Incorporer aux ingrédients secs à l’aide d’une maryse en alternant avec le mélange de yogourt, ajouter les bleuets et mélanger délicatement. Réserver le temps de préparer la garniture croquante.
  5. Dans un petit bol mélanger la cassonade, le beurre fondu et les flocons d’avoine.
  6. Répartir la pâte à muffins dans les 12 moules et parsemer de la garniture d’avoine. Cuire au four 20 à 25 minutes jusqu’à ce qu’ils soient légèrement dorés et qu’un cure-dent inséré au centre en ressorte propre.
  7. Laisser refroidir avant de servir.

 

Astuce du chef

Afin que les muffins soient moelleux, évitez de trop mélanger l’appareil. Remplacez le yogourt aux pêches par votre yogourt préféré !

 

Conseil de la nutritionniste

Ces muffins sont une excellente collation, car ils contiennent un peu de protéines ainsi que des glucides pour donner de l’énergie au cerveau. La compote de pommes permet de diminuer le sucre de la recette et le son de blé ajoute des fibres. Des muffins qui n’ont rien à envier à ceux du commerce !

 

Merci à La Tablée des chefs pour ces délicieuses recettes! www.tableedeschefs.org/fr

 

(Photo : Toa Heftiba sur Unsplash)

20 portions
25 min. de préparation

Vous aurez besoin de :

  • 2 plaques à biscuit
  • 2 feuilles de papier parchemin
  • Kit de tasses à mesurer
  • 2 casseroles moyennes
  • 1 cuillère de bois
  • 1 bol moyen
  • 1 maryse
  • 1 couteau de chef
  • 1 planche

Ingrédients :

  • Pour la nougatine de graines de citrouille :
  • 1 tasse (250 ml) de graines de citrouille
  • ¼ tasse (60 ml) de sucre blanc granulé
  • 2 c. à soupe (30 ml) d’eau

Pour les boules d’énergie :

  • 5 tasses (1250 ml) de figues sèches coupées en brunoise
  • 1 ¼ tasse (310 ml) d’abricots secs coupés en brunoise
  • 1 tasse (250 ml) de cerises sèches coupées en brunoise
  • 1 tasse(250 ml)  de raisins secs
  • 1 tasse (250 ml) de canneberges sèches hachées grossièrement
  • ½ tasse (125 ml) de jus de pomme
  • 1 tasse (250 ml) de beurre de tournesol
  • 1 1/3 tasse (250 m) de poudre de cacao
  • ¼ tasse (60 ml) de sirop d’érable

 

MÉTHODE

  1. Hacher grossièrement les graines de citrouille. Réserver
  2. Dans une casserole moyenne chauffer le sucre et l’eau et cuire jusqu’à obtention d’un caramel clair. Verser les graines de citrouille et mélanger vigoureusement pour que le caramel enrobe les graines. Réserver la nougatine de graines de citrouille
  3. Dans une casserole moyenne, réhydrater les fruits séchés en les chauffant avec le jus de fruits environ 10 minutes jusqu’à obtenir une pâte.
  4. Hacher grossièrement la nougatine de graines de citrouille.
  5. Ajouter tous les ingrédients et 1 tasse de poudre de cacao dans un bol moyen et pétrir jusqu’à ce que la pâte soit bien homogène. Réserver une dizaine de minutes au congélateur
  6. Verser le 1/3 tasse (80 ml) de cacao en poudre sur la plaque à biscuit.
  7. Former les boules d’énergie en roulant la pâte entre les paumes de main et les déposer sur la plaque. Les faire rouler dans le cacao de façon uniforme.

 

ASTUCE DU CHEF : Former les boules est plus facile avec des gants à usage unique, sinon remettre le mélange au froid lorsque la pâte colle trop aux mains.

 

CONSEIL DE LA NUTRITIONNISTE : Les boules d’énergie sont une excellente collation pour faire le plein de nutriments! Laissez aller votre imagination : variez les sortes de fruits ou de graines, ajoutez-y des graines de chia ou de chanvre, des noix et même toute une variété d’épices ou d’essences! Elles seront délicieuses accompagnées d’un verre de lait de soja.

Merci à La Tablée des chefs pour ces délicieuses recettes! www.tableedeschefs.org/fr

 

L’école primaire des Grands-Êtres de Montréal a mis l’environnement au cœur de son club! Mario Cloutier y enseigne l’art dramatique. Il partage avec nous le succès de ce virage vert et nous parle de l’importance du club pour ses élèves.

 

« À titre d’enseignant, je m’occupe du comité vert (environnement) à l’École des Grands-Êtres. Je vous donne ci-après un aperçu de ce qui motive notre implication en tant qu’équipe-école.

Les élèves sont d’excellents vecteurs permettant d’initier ou de continuer de développer ce qui se fait dans la communauté pour protéger notre planète. Au travers des brèves réponses aux questions, j’espère que vous pourrez saisir l’essentiel de notre implication à tous et à toutes… »

Mario Cloutier, Enseignant en art dramatique

 

De quoi êtes-vous le plus fier dans votre club?

Il y a trois ou quatre ans, nous avons instauré le compostage dans toute l’école. Nous avons créé une « brigade verte » composée d’élèves de 6e année qui s’occupent tous les jours de déposer et de reprendre les bacs verts pour le compostage.

Quel(s) conseil(s) donneriez-vous aux autres écoles qui souhaitent devenir plus vertes?

Les enfants représentent l’avenir et l’environnement devrait être au cœur des préoccupations de chacun et chacune ; ça prend une génération pour changer des comportements. En ce sens, les élèves représentent les forces vives de ces changements.

Comment un club des petits déjeuners change-t-il l’esprit de votre école ?

Il assure une ressource essentielle au développement de l’enfant. Il contribue à améliorer les conditions d’apprentissages des élèves en leur fournissant bien humblement des collations santé.

Quel est le commentaire le plus drôle que vous ayez reçu sur le club des petits déjeuners?

Les élèves ont bien sûr des préférences parmi les aliments qui leur sont proposés. Certains ont « la cote », d’autres moins… Alors, on entend parfois « Ah non, pas encore ça » ou, au contraire, « Yé, encore ça! »

Si vous pouviez inviter une célébrité à déjeuner avec vos élèves, qui serait-ce et pourquoi?

Greta Thunberg ou le promoteur qui viendrait nous offrir gratuitement un toit vert ?!?!?!? Pourquoi ? Inspirer davantage nos élèves à mieux prendre soin de leur environnement !

Au Canada, mars est le Mois de la nutrition. Comme à chaque année, le Club des petits déjeuners saisit cette occasion pour aborder la question de la saine alimentation sous toutes ses facettes. 

Au menu cette semaine : le Comité nutrition.

La saine alimentation se trouve au cœur de la vision des programmes de nutrition scolaire. Si le simple fait de manger aide les élèves à maintenir un bon niveau de concentration tout au long de la journée, il n’est pas difficile d’entrevoir comment une alimentation riche et nutritive peut maximiser les retombées.

Dans un souci constant d’améliorer les programmes de petits déjeuners soutenus par le Club, l’organisation peut compter sur l’appui d’un Comité nutrition. Constitué d’employées du Club, le comité comporte une expertise particulière en matière de saine alimentation, de nutrition scolaire et de sécurité alimentaire, et ses membres agissent d’intermédiaires avec les écoles et les partenaires sur le terrain, d’un bout à l’autre du pays.

Travailler de façon collaborative permet aux membres du Comité nutrition de discuter d’enjeux de nature locale afin de les arrimer au niveau national. Par ailleurs, l’initiative offre des occasions d’échange et de remue-méninges inédites qui donnent lieu à des solutions souvent insoupçonnées et novatrices.

De façon concrète, le Comité est appelé à conseiller le Club sur le programme de nutrition scolaire dans son ensemble ou sur des sujets de nutrition connexes. Par exemple, le Comité s’intéresse ces jours-ci à l’adaptation de l’alimentation aux réalités culturelles, ainsi qu’au contexte de la prise de repas dans les écoles. Il se penche également sur la création et la mise à jour d’outils et de ressources pour appuyer les écoles dans leur travail, et procède à des recommandations d’aliments, de recettes et de menus sains.

À l’occasion du Mois de la nutrition, nous tenons à souligner le travail des membres du Comité nutrition, que nous vous présentons à tour de rôle.

Catherine D’Amours
Conseillère à l’accompagnement des programmes pour le Québec

Catherine travaille main dans la main avec les coordonnatrices du Club assignées aux différentes régions du Québec, qui compte près de 450 programmes de petits déjeuners. Elle veille donc à l’arrimage des différents programmes et agit telle une conseillère prodiguant avis et recommandations en matière de meilleures pratiques, de processus et d’outils.

Diplômée en nutrition, elle invite les parents et les enseignants à faire preuve de curiosité dans la cuisine : « Il ne faut pas hésiter à présenter de la variété dans l’assiette des enfants, ni se décourager s’ils se montrent réfractaires à certains aliments. Leurs goûts évoluent rapidement, et plus on les sensibilise tôt à une alimentation variée, plus on augmente leurs chances de réussite sur le long terme. » Au-delà de la quantité et de la qualité de la nourriture ingérée, elle investit une partie de ses efforts envers l’amélioration de l’expérience de la prise de repas dans les écoles.

Chelsey Hazelton
Coordonnatrice principale des programmes

Agissant comme principal point de contact auprès de 90 écoles de la Colombie-Britannique, du Nunavut, de la Saskatchewan et du Sud de l’Alberta, Chelsey veille notamment au bon déroulement de leurs activités et de la qualité des programmes de petits déjeuners.

En poste depuis trois ans, elle constate une portée grandissante du Club dans les provinces de l’Ouest, où le nombre d’enfants desservis ne cesse de croître. Chaque club étant unique, s’adaptant à leurs propres réalités locales et leurs besoins respectifs, le Comité est un excellent moyen de discuter et partager des idées afin d’améliorer les programmes à travers le pays. Comme les territoires couverts sont vastes et comptent plusieurs communautés autochtones, les notions d’accessibilité et de culture alimentaire trônent au haut de sa liste de priorités. Elle tient d’ailleurs à rappeler que, plus que jamais, il importe de prendre le pouls de nos communautés pour les soutenir avec plus d’efficacité et d’empressement lorsqu’un besoin se présente.

Virginie Marcoux
Coordonnatrice des programmes, Montréal et Lanaudière

Virginie est la plus récente addition du comité nutrition. Nutritionniste de formation, elle se passionne pour la santé publique et la sécurité alimentaire. Son expérience l’incite à inviter les parents à se départir du sentiment de culpabilité qui émerge souvent chez eux. Offrir une saine alimentation aux enfants ne veut pas dire atteindre la perfection! Elle passe, avant tout, par la diversité alimentaire.

Chargée de représenter le Club dans le cadre de projets d’engagement collectif tels que La Cantine pour tous, elle perçoit en quelque sorte son rôle comme celui de facilitatrice d’un réseau complexe aux nombreux acteurs, dans le but de renforcer la collaboration et de favoriser la complémentarité et la pérennité des services d’aide alimentaire. Soucieuse d’assurer une diversité des voix et de laisser place à une réponse provenant du milieu, elle approche son travail avec vigilance et sensibilité.

Maxine Lam
Coordonnatrice des programmes, Manitoba et Nord-Est de l’Alberta

Ayant étudié les programmes scolaires de petits déjeuners dans le cadre de sa maîtrise à l’Université du Manitoba, Maxine comprend les réalités des communautés évoluant en contexte rural ou éloigné et travaille de près avec plusieurs communautés autochtones.

Maxine dévoue une grande partie de son temps aux projets d’accessibilité de nourriture. Les enjeux de transport et d’entreposage font partie de la réalité des écoles qu’elle accompagne et affectent par le fait même le coût et la qualité des aliments. Au-delà de son travail quotidien, la sensibilisation du public est ce qui la motive au quotidien : « Il est important de sensibiliser les gens au fait que la réalité socioéconomique des familles n’est qu’un des facteurs pouvant expliquer qu’un enfant se présente à l’école le ventre vide. Plusieurs autres facteurs peuvent être en cause. »

 

À la recherche d’idées d’activités à faire ou de recettes à essayer à l’occasion de la Semaine de relâche et du Mois de la nutrition? Consultez notre livre de recettes!

Au Canada, mars est le Mois de la nutrition. Comme à chaque année, le Club des petits déjeuners saisit cette occasion pour aborder la question de la saine alimentation sous toutes ses facettes. 

Au menu cette semaine : le Comité nutrition.

La saine alimentation se trouve au cœur de la vision des programmes de nutrition scolaire. Si le simple fait de manger aide les élèves à maintenir un bon niveau de concentration tout au long de la journée, il n’est pas difficile d’entrevoir comment une alimentation riche et nutritive peut maximiser les retombées.

Dans un souci constant d’améliorer les programmes de petits déjeuners soutenus par le Club, l’organisation peut compter sur l’appui d’un Comité nutrition. Constitué d’employées du Club, le comité comporte une expertise particulière en matière de saine alimentation, de nutrition scolaire et de sécurité alimentaire, et ses membres agissent d’intermédiaires avec les écoles et les partenaires sur le terrain, d’un bout à l’autre du pays.

Travailler de façon collaborative permet aux membres du Comité nutrition de discuter d’enjeux de nature locale afin de les arrimer au niveau national. Par ailleurs, l’initiative offre des occasions d’échange et de remue-méninges inédites qui donnent lieu à des solutions souvent insoupçonnées et novatrices.

De façon concrète, le Comité est appelé à conseiller le Club sur le programme de nutrition scolaire dans son ensemble ou sur des sujets de nutrition connexes. Par exemple, le Comité s’intéresse ces jours-ci à l’adaptation de l’alimentation aux réalités culturelles, ainsi qu’au contexte de la prise de repas dans les écoles. Il se penche également sur la création et la mise à jour d’outils et de ressources pour appuyer les écoles dans leur travail, et procède à des recommandations d’aliments, de recettes et de menus sains.

À l’occasion du Mois de la nutrition, nous tenons à souligner le travail des membres du Comité nutrition, que nous vous présentons à tour de rôle.

Catherine D’Amours
Conseillère à l’accompagnement des programmes pour le Québec

Catherine travaille main dans la main avec les coordonnatrices du Club assignées aux différentes régions du Québec, qui compte près de 450 programmes de petits déjeuners. Elle veille donc à l’arrimage des différents programmes et agit telle une conseillère prodiguant avis et recommandations en matière de meilleures pratiques, de processus et d’outils.

Diplômée en nutrition, elle invite les parents et les enseignants à faire preuve de curiosité dans la cuisine : « Il ne faut pas hésiter à présenter de la variété dans l’assiette des enfants, ni se décourager s’ils se montrent réfractaires à certains aliments. Leurs goûts évoluent rapidement, et plus on les sensibilise tôt à une alimentation variée, plus on augmente leurs chances de réussite sur le long terme. » Au-delà de la quantité et de la qualité de la nourriture ingérée, elle investit une partie de ses efforts envers l’amélioration de l’expérience de la prise de repas dans les écoles.

Chelsey Hazelton
Coordonnatrice principale des programmes

Agissant comme principal point de contact auprès de 90 écoles de la Colombie-Britannique, du Nunavut, de la Saskatchewan et du Sud de l’Alberta, Chelsey veille notamment au bon déroulement de leurs activités et de la qualité des programmes de petits déjeuners.

En poste depuis trois ans, elle constate une portée grandissante du Club dans les provinces de l’Ouest, où le nombre d’enfants desservis ne cesse de croître. Chaque club étant unique, s’adaptant à leurs propres réalités locales et leurs besoins respectifs, le Comité est un excellent moyen de discuter et partager des idées afin d’améliorer les programmes à travers le pays. Comme les territoires couverts sont vastes et comptent plusieurs communautés autochtones, les notions d’accessibilité et de culture alimentaire trônent au haut de sa liste de priorités. Elle tient d’ailleurs à rappeler que, plus que jamais, il importe de prendre le pouls de nos communautés pour les soutenir avec plus d’efficacité et d’empressement lorsqu’un besoin se présente.

Virginie Marcoux
Coordonnatrice des programmes, Montréal et Lanaudière

Virginie est la plus récente addition du comité nutrition. Nutritionniste de formation, elle se passionne pour la santé publique et la sécurité alimentaire. Son expérience l’incite à inviter les parents à se départir du sentiment de culpabilité qui émerge souvent chez eux. Offrir une saine alimentation aux enfants ne veut pas dire atteindre la perfection! Elle passe, avant tout, par la diversité alimentaire.

Chargée de représenter le Club dans le cadre de projets d’engagement collectif tels que La Cantine pour tous, elle perçoit en quelque sorte son rôle comme celui de facilitatrice d’un réseau complexe aux nombreux acteurs, dans le but de renforcer la collaboration et de favoriser la complémentarité et la pérennité des services d’aide alimentaire. Soucieuse d’assurer une diversité des voix et de laisser place à une réponse provenant du milieu, elle approche son travail avec vigilance et sensibilité.

Maxine Lam
Coordonnatrice des programmes, Manitoba et Nord-Est de l’Alberta

Ayant étudié les programmes scolaires de petits déjeuners dans le cadre de sa maîtrise à l’Université du Manitoba, Maxine comprend les réalités des communautés évoluant en contexte rural ou éloigné et travaille de près avec plusieurs communautés autochtones.

Maxine dévoue une grande partie de son temps aux projets d’accessibilité de nourriture. Les enjeux de transport et d’entreposage font partie de la réalité des écoles qu’elle accompagne et affectent par le fait même le coût et la qualité des aliments. Au-delà de son travail quotidien, la sensibilisation du public est ce qui la motive au quotidien : « Il est important de sensibiliser les gens au fait que la réalité socioéconomique des familles n’est qu’un des facteurs pouvant expliquer qu’un enfant se présente à l’école le ventre vide. Plusieurs autres facteurs peuvent être en cause. »

 

À la recherche d’idées d’activités à faire ou de recettes à essayer à l’occasion de la Semaine de relâche et du Mois de la nutrition? Consultez notre livre de recettes!

Partenaire du Club depuis 2018, la BC Dairy Association fournit deux fois par semaine des produits laitiers frais à six programmes du Club des petits déjeuners situés à Chilliwack et à Agassiz, en Colombie-Britannique. Cette générosité permet à 500 élèves de bénéficier quotidiennement d’une meilleure accessibilité alimentaire dans la région! Grâce à ce projet, les responsables du programme de chacune des écoles partenaires peuvent faire preuve de créativité en cuisine pour offrir à leurs élèves des repas matinaux aussi délicieux que nourrissants.

 

L’école communautaire Seabird Island (Lalme’ Iwesawtexw), à proximité d’Agassiz (Colombie-Britannique), sur le territoire de la Nation Stó:lō, est un partenaire clé du projet de la BC Dairy. Avec sa grande cuisine et son personnel à temps plein, Seabird fournit chaque jour des repas à 180 élèves de la maternelle à la 12e année. C’est plus de 1 200 petits déjeuners par semaine! La coordonnatrice Kim Smith a travaillé avec le Club des petits déjeuners pour étendre la portée des dons de la BC Dairy au-delà de l’établissement. Afin d’atteindre le plus grand nombre d’élèves possible dans sa communauté, elle a embarqué l’école primaire-secondaire d’Agassiz et le Centre d’éducation d’Agassiz dans le projet. Toutes les deux semaines, une commande de lait, de yogourt et de fromage frais arrive à Seabird, en quantité suffisante pour les trois clubs de la région. Kim sépare la commande et organise la distribution des produits, en veillant à ce qu’il n’y ait absolument aucun gaspillage alimentaire. Au petit déjeuner, ses élèves aiment tout particulièrement le yogourt accompagné de petits fruits et les œufs brouillés servis avec riz, mais rien ne les rend plus enthousiastes que la « spécialité de la maison », une délicieuse surprise concoctée avec inventivité!

Shannon Rigby-Jones (alias madame R.-J.) enseigne l’éducation nutritionnelle à l’école primaire-secondaire d’Agassiz. Elle travaille en étroite collaboration avec Kim pour que les élèves des deux écoles reçoivent chaque matin les éléments essentiels à leur réussite. Madame R.-J. a intégré le contenu des cours d’éducation nutritionnelle de ses élèves du secondaire au programme de petits déjeuners. Les jeunes préparent ainsi des centaines de repas par semaine, du gruau tropical sans cuisson (garni de morceaux d’ananas!) au parfait au yogourt et aux petits fruits en passant par les bentos « spécial protéines », remplis de légumes frais, de cubes de fromage et d’œufs cuits durs. Cette année scolaire, l’école a dû passer d’un menu chaud à un modèle pour emporter afin de s’adapter aux mesures de distanciation physique. Mais grâce à ces nouvelles recettes, les responsables du programme sont en mesure d’offrir plus de repas que jamais à leurs élèves. Certains jeunes exercent en outre leur créativité en s’amusant à explorer différentes combinaisons de saveurs chaque semaine.

« Nous sommes extrêmement reconnaissants envers le Club des petits déjeuners et la BC Dairy Association pour leur générosité et leur engagement continu à l’égard de ce projet crucial. Ce soutien permet à nos enfants de Seabird, mais aussi à ceux des communautés environnantes, de combler quotidiennement leurs besoins nutritionnels. » – Kim Smith

Waachiye!

Nous avons une victoire commune à célébrer : grâce à une collaboration étroite entre la Nation Eeyou (Cris) et le Club, ce sont aujourd’hui plus de 4 500 élèves de niveau primaire et secondaire qui ont accès à un programme de petits déjeuners en milieu scolaire.

Lors de notre première tournée d’accompagnement et de sensibilisation dans les communautés nordiques en 2013, le conseiller aux programmes autochtones du Club s’est demandé, devant l’ampleur de la population scolaire de Chisasibi, comment nous allions réussir à soutenir durablement autant de grandes écoles en milieu éloigné. Huit ans et un partenariat régional plus tard, nous avons trouvé la réponse!

Notre aventure avec les écoles d’Eeyou Istchee (Nation Crie) a débuté en 2011 par le soutien de la communauté de Wemindji. Il aura fallu attendre 2015 (Waswanipi) et 2019 (Oujé-Bougoumou) pour que nous soutenions d’autres écoles cries dans la région.

Depuis ce temps, tant les organisations régionales qui sont nos alliées que nos conseillers et coordonnatrices ont accompli beaucoup de travail. Ces efforts acharnés méritent d’être soulignés.

En effet, nous avons établi en 2017 un contact avec le Conseil cri de la Santé et des Services sociaux de la Baie James et, peu après, avec la Commission scolaire crie pour travailler de façon concertée à l’établissement d’un programme universel de petits déjeuners pour l’ensemble des écoles d’Eeyou Istchee. Nous sommes privilégiés de collaborer avec des personnes clés de ces deux organisations régionales. Elles ont été et continuent d’être des partenaires indispensables à la mise en œuvre de notre vision commune. Bien que l’année 2019-2020 se soit avérée unique avec l’apparition de la COVID-19 et, dans son sillage, des défis d’adaptation que nous connaissons, notre collaboration a permis de continuer à livrer des denrées aux familles avec enfants dans la majorité des communautés.

À l’issue de ce parcours jalonné d’obstacles et de réussites, nous avons enfin procédé à l’ouverture de programmes de petits déjeuners à Chisasibi dans les deux dernières écoles jusqu’alors sans club de la Nation Eeyou. Ainsi, l’école secondaire James Bay Eeyou et l’école primaire Waapinichikush ont ouvert leur club à tour de rôle en décembre dernier. Ensemble, elles totalisent plus de 1000 élèves. La première livraison était vraiment attendue dans la communauté et les programmes connaissent depuis un grand succès, comme en témoignent les directions :

« Que de résultats positifs depuis les débuts de notre programme de petits déjeuners! Les élèves arrivent finalement à l’heure et ont dorénavant toute l’énergie nécessaire pour se rendre au dîner. »
– Direction, école James Bay Eeyou, Chisasibi

« Les besoins de base des élèves sont comblés de sorte que tout le monde est plus concentré en classe. Les élèves sont contents d’avoir accès à des produits nutritifs et ont hâte de les recevoir chaque jour. »
– Direction, école Waapinichikush, Chisasibi.

 

Meegwetch à toutes les personnes impliquées dans ce succès!

 

Liens utiles
• Gouvernement de la Nation Crie : https://www.cngov.ca/fr/
• Commission scolaire crie : https://eeyoueducation.ca/
• Conseil Cri de la Santé et des Services sociaux de la Baie James : https://www.creehealth.org/fr/home

 

par Noelle Martin de Motherhood and Meals
Diététiste professionnelle

 

Servies ensemble, ces deux recettes réunissent grains entiers, fruits et légumes, bons gras et protéines pour un petit déjeuner qui regorge de bienfaits. N’oubliez pas de demander l’aide de vos enfants pour les tester… et les adopter!

Pancakes à la citrouille

Ingrédients

  • 2 tasses (500 ml) de farine de blé entier
  • 1 tasse (250 ml) de purée de citrouille pure
  • 1 tasse (250 ml) de lait ou de boisson végétale de votre choix
  • 1 œuf
  • ⅓ tasse (75 ml) de compote de pommes non sucrée ou d’un autre fruit ou légume en purée
  • ¼ tasse (60 ml) de graines de chanvre écalées
  • 2 c. à thé (10 ml) de poudre à pâte
  • 2 c. à thé (10 ml) de cannelle
  • 1 c. à thé (5 ml) d’extrait de vanille

Préparation

  1. Mélanger les ingrédients secs dans un bol.
  2. Dans un autre bol, mélanger les ingrédients humides.
  3. Ajouter les ingrédients secs aux ingrédients humides et bien mélanger.
  4. Pour chaque portion, verser ⅓ tasse de pâte dans une poêle ou une poêle électrique chauffée à feu moyen et cuire de 3 à 5 minutes de chaque côté jusqu’à ce que les pancakes soient complètement cuits.
  5. Accompagner de ses garnitures favorites, par exemple du yogourt, des fruits, du granola, des graines de tournesol, des amandes effilées ou du beurre de noix.

 

Smoothie onctueux à la pêche

Ingrédients

  • 3 tasses (750 ml) de lait
  • 1 tasse (250 ml) de pêches surgelées
  • ½ tasse (125 ml) de chou-fleur surgelé en riz
  • 1 tasse (250 ml) de yogourt grec à la vanille ou aux pêches
  • 3 dattes dénoyautées
  • 2 ou 3 glaçons

Préparation

  1. Mélanger les ingrédients. Placer les ingrédients dans un mélangeur haute performance et réduire à puissance élevée pendant 2 minutes ou jusqu’à obtention de la consistance désirée.
  2. Servir et savourer!

 

Un grand merci à notre collaboratrice pour cette délicieuse recette!